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vendredi, 16 février 2007

1 Million de DVD pour la Planète

1 Million de DVD pour la Planète
Recommandé par des Influenceurs
 

S'il est toujours possible de revendre des DVD, des CD audio et des CD-ROM, ou au moins de les donner (lire l'article du blog "Donner au lieu de jeter"), il reste toujours quantité de galettes (CD ou DVD) qui prennent la poussière sur nos étagères. Entre les vieux CD ayant servi de back-up, d'échanges de fichiers, des copies personnelles qui ne nous intéressent plus et qui sont invendables, des DVD de promo inutiles ou du matériel publicitaire (comme ceux des FAI), des vieux jeux peu recherchés aux graphiques pixellisés ne rendant nostalgiques que quelques trentenaires, des milliers de disques en plastique gravé s'entassent ainsi dans les foyers.

Pourtant, il n'existe à l'heure actuelle aucune filière de recyclage et ces CD finissent incinérés. Or, fabriqués à base de polycarbonate (dérivé du pétrole), il serait parfaitement envisageable de les recycler et éviter quantité d'émission de gaz à effet de serre. La preuve? Nos voisins allemands et suisses par exemple possèdent une filière nationale de récupération et de valorisation adaptée à ce déchet, notamment pour la fabrication de produits aux exigences technique élevées (pièces automobiles, boîtiers d’imprimante s, d'ordinateurs...).

Parce qu'il est urgent d'agir sans attendre (combien de CD avons-nous déjà été contraints de jeter?), Boris PERCHAT a eu l'idée de lancer le projet "1 Million de DVD pour la Planète" qui nous invite à ne plus jeter nos CD et DVD usagés à la poubelle mais à les mettre délibérément de côté chez nous en vue de leur recyclage prochain et à comptabiliser leur nombre sur un site web. Le projet fait le pari que plus nous serons nombreux à montrer l’exemple en appliquant ce geste plus nous pourrons espérer le faire adopter à une majorité d'individus. En outre plus le geste sera suivi plus il contribuera à accélérer la mise en place d'un circuit national de valorisation actuellement inexistant. Le tout au bénéfice direct de la préservation des ressources de la planète et de l'atténuation du réchauffement climatique

Rendez vous sur www.1milliondedvdpourlaplanete.net et engagez vous. Certains proposent déjà de stocker vos CD et DVD!

mardi, 30 janvier 2007

L'entreprise Finimétal réduit ses déchets de -25% en 2 ans!

Fin 2004, dans le cadre de l’opération "Objectif déchets - 10%", l’ADEME sélectionnait 100 entreprises pour les accompagner à s’engager dans une démarche de réduction d'au moins 10% de leurs déchets en deux ans, soit en les réduisant à la source ou en augmentant leur valorisation. Pour les aider, les entreprises bénéficiaient des conseils d'un expert référencé et financé par l’ADEME (chaque entreprise choisissant ensuite son expert parmi les propositions en fonction de ses propres critères : savoir-faire, domaine de compétence proche de son secteur d’activité…).

Finimétal est l'une des entreprises sélectionnées. En tant que fabriquant de radiateurs et de sèche-serviettes en acier et électrique, elle est amenée à travailler des métaux, générant des déchets de métaux, de cartons, de bois (palettes de transport) et d'eaux usées. Afin de réduire ses déchets, l'entreprise a donc travaillé principalement sur les axes suivants:

  • Réduction des déchets de carton: concertation avec les fournisseurs pour la reprise desemballages, modification des modes et des quantités d'emballage, optimisation des emballages des radiateurs (pour éviter les pertes), soit -0,44kg de déchets par radiateur
  • Réduction des déchets de bois: réparation des palettes abîmées, mise en place de palettes couleurs dans les ateliers pour réutilisation interne, travail avec les fournisseurs pour retour, soit -0,289kg de déchets par radiateur
  • Réduction des déchets de métaux avec l'optimisation des découpes (gain: -23% de déchets)

L'entreprise a également eu l'idée de récupérer les produits défectueux bons à jeter en palettes métalliques: un sous-traitant récupère les vieux radiateurs et sèche-serviettes ratés pour les transformer et les remonter en palettes, pour remplacer à terme celles en bois utilisées par l'entreprise.

Quant aux coûts, "l'opération se révèle rentable", indique Séverine Volbrecht, responsable environnement de l'entreprise. "Une palette en bois coûte 7 euros et sert pendant un mois. En métal, elles valent 152 euros et les plus anciennes résistent déjà depuis plus de 22 mois" (Newzy).

Au total, la société a vu ses déchets diminuer de 25% (942 T de déchets contre 1266) en à peine 2 ans... 


Sources:
- Dossier de presse: "100 entreprises pilotes sélectionnées pour réduire et mieux gérer leurs déchets", Ademe, 13 octobre 2004
- Fiche Bilan Intermédiaire de l'Ademe sur Finimétal [MàJ 15/4/2011 fiche plus accessible en ligne]
- "Gestion des déchets: des bonnes pratiques de tri à la réduction à la source", compte rendu de la réunion du Club Environnement/Sécurité de la CCI d'Angers (13 avril 2006)
- "Finimétal transforme ses radiateurs en palettes", Newzy n°26 (p.19, décembre 2006)

lundi, 15 janvier 2007

Qui dit mieux... pour recycler le plastique?

Imaginez des sacs et des lambeaux de plastique jonchant votre environnement, s'accrochant aux branches des arbres, aux barrières, voletant autour de petits monticules d'ordures? Malheureusement, pas de collecte de plastique, pas de bacs jaunes ou de recyclage officiel. Et pourtant...

C’est en 1980 au Bénin que Grâce DOTOU-ABOH crée l’ONG "Qui dit mieux ?", une troupe de théâtre constituée uniquement de femmes, permettant à celles mariées de jouer sans s’attirer les foudres de leur mari. C’était également un formidable outil de sensibilisation dans tout le pays.

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A partir du milieu des années 1990, Grâce Dotou décida d’orienter plus précisément le travail de l’association vers les thèmes de la santé et de l’environnement. L’ONG s’est alors lancé dans la sensibilisation des femmes à l’importance de replanter le bois utilisé quotidiennement dans leur cuisine.

Cependant, en voyant l’accumulation de sacs plastiques jonchant les rues de sa ville, la fondatrice eu l’idée de tisser des objets à partir de sachets collectés, lavés et désinfectés. De simples bandes en plastique sont nés des sacs, des poupées, des napperons… et même des vêtements (1ère photo où Grâce porte un ensemble vert en plastique)! Parallèlement, les enseignants et les femmes sont sensibilisés pour les inciter à réduire leur utilisation de sachets plastiques.

 

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A présent, l’ONG compte 20 membres, dont cinq permanentes qui fabriquent les objets en plastique. En fonction des commandes (vente des produits à l’étranger ou au Ministère de l’Environnement), l’association peut avoir à recruter quelque 25 femmes pour le ramassage, 40 pour le lavage et jusqu’à 50 pour le tissage.

Malgré un manque de soutien (l'ONG peine à vendre ses produits en Afrique et ne reçoit aucune aide), les efforts de Grâce Dotou ont été récompensés en 2002, ayant reçu le Prix des Nations Unies pour la Réduction de la Pauvreté et la Protection de l’Environnement. 


Pour plus d'infos:
- Site "Courants de Femme" (femmes et initiatives locales de développement) présentant l'ONG "Qui dit mieux?"
- Reportage dans l'émission "Reflets Sud" du samedi 13 janvier 2007 sur TV5 (dont les photos sont extraites)

lundi, 16 octobre 2006

"Nau" gaspillage dans votre entreprise !

Respecter l’environnement est avant tout une question de volonté. Nauconsultants, petite équipe de consultants opérationnels en communication basée à Lambersart (59) en est une parfaite illustration. Suite au concours national organisé par la CGPME (Confédération Générale du Patronat des PME) et d’EDF en partenariat avec Défi pour la Terre, la société a mis en place une charte environnementale qui leur a valu d’être lauréat.

Fruit du travail de toute l’équipe (4 personnes) qui ont sélectionné les gestes applicables au quotidien, la Charte a été lancée en mars 2006. Au total, Nauconsultants a décidé de mener très simplement 10 actions (accès direct sur le site de l'entreprise):

1. Créer une charte "Nau gaspillage" partagée avec les clients lors de chaque nouveau contrat comprenant 10 points (exemple : imprimer tous les documents en noir et blanc et brouillon, choisir des papiers adaptés), règles d’échange de documents.

2. Permettre la visualisation du volume et du poids de papier et des consommables informatiques utilisés. Une boite est destinée à recevoir les déchets papier. Cette boite est pesée chaque fin de mois. Ceci permet de se rendre compte de ce que l’on consomme réellement et visuellement : un challenge collectif.

3. Lors des propositions de maquette de plaquette et journaux, proposition systématique de réduire le format de 1cm en largeur et en hauteur afin de réduire le volume de papier imprimé. Communication du volume gagné à tous les clients

4. Paramétrer les imprimantes en mode noir et blanc et brouillon par défaut et interdire d’imprimer plus de deux ramettes/semaine pour l’ensemble de l’équipe

5. Nettoyer les meubles en évitant les produits ménagers et utiliser les chiffons microfibres.

6. Afin d’économiser électricité et chauffer moins, changer la configuration des bureaux, grand bureau = salle de réunion, petit bureau = collaborateurs

7. Arrêter ou mettre en veille les ordinateurs pendant les réunions

8. Assurer le covoiturage des collaborateurs n’ayant pas à se déplacer dans la journée

9. Pour les courses de courte distance, choisir un coursier vélo plutôt que moto

10. Pour l’impression, choisir un imprimeur numérique à la demande, conséquence : pas de stock de papier ni de gâchis.

La Charte est envoyée et expliquée à chaque client, un des engagements les concernant d’ailleurs directement avec la réduction de la taille des documents. Elle est également diffusée sur le blog de la société et sur les emails qu’elle envoie, invitant toute entreprise à s’en inspirer.

A quand votre tour? Et si vous commenciez par demander à Nauconsultants un exemplaire de leur Charte puisqu’ils le proposent ?


Je vous invite également à lire l'article du blog sur "le gaspillage de papier en entreprise" indiquant, entre autre, que les entreprises françaises dépensent plus de 400 millions d’euros par an en impressions inutiles.

mercredi, 23 août 2006

Une collecte des déchets plus écolo ?

Réduire les déchets est essentiel… mais quand chaque matin, je dois précipitamment fermer mes fenêtres pour éviter les subtils parfums dégagés par les pots d’échappement des bennes à ordure, je me réjouis de cette nouvelle initiative : la SITA, une des principales entreprises de collecte de déchets en France vient de lancer un site internet pour calculer l’empreinte écologique (*) de la collecte des déchets ménagers.

En effet, nos ordures engendrent de nombreuses pollutions (d’où le besoin de réduire leur quantité et de les recycler au maximum)… mais leur collecte pèse également sur l’environnement : va-et-vient de bennes tout au long de la semaine (notamment en zone urbanisée), récupération dans les décharges, objets encombrants… Or, les véhicules électriques ou fonctionnant au biocarburant sont encore beaucoup trop rares et ce blog vous a maintes fois répété qu’une conduite consistant à démarrer, freiner, redémarrer brusquement est extrêmement polluante.

Il est grand temps que les pouvoirs publics montrent l’exemple et le site de la SITA vise à accompagner les collectivités locales en ce sens. En rentrant de nombreuses données (fréquence de passage, kilométrage parcouru, nombre de camions, carburant utilisé, type de poubelles…), elles obtiennent l’empreinte écologique de leurs collectes, donnée en hectares par habitant.

medium_benne_ordure.jpg
Résultat d'une simulation (données entrées totalement fantaisistes)

 

Les élus disposent ensuite de nombreux conseils et la possibilité de tester différents scénarios pour réduire cette empreinte. Ainsi, La Roche-sur-Yon a calculé que passer d’une collecte bihebdomadaire à une collecte hebdomadaire ferait passer son empreinte de 267 à 192 ha, c’est à dire de 31,6 à 22,7 m²/hab.

Parlez-en à votre mairie !

 

(*) L’empreinte écologique consiste à évaluer la pression environnementale exercée par l’ensemble des activités humaines (ou un secteur particulier). Elle est calculée en prenant en compte les surfaces nécessaires à la production de chacun des matériaux et services fournis par les écosystèmes et entrant en ligne de compte dans ces activités. Cette valeur est ensuite donnée en nombre d’hectares par habitant (voir la rubrique du blog "testez vous" dans la colonne de droite).

vendredi, 23 juin 2006

Après les pneus sur route, les routes en pneu ?

Voici la dernière nouveauté en matière de recyclage de pneus : des routes… en pneus. Je ne parle pas ici d’intégrer des petits bouts de pneus dans l’asphalte (cela se fait déjà et permet d’atténuer les nuisances sonores), mais simplement d’un concept novateur qui utilise des panneaux en gomme pour la construction de route. Développée par une société anglaise, la Holdfast Rubber Highway (HRH), ce concept permettra de recycler quantités de pneus (sur les 50 millions que compte l’Angleterre…).

medium_recyclage_pneu.jpgLe principe repose sur la fabrication de panneaux en pneu dont la pose est facile et rapide : 4 hommes peuvent aligner 300 m de route en 5 jours, sans les nuisances habituelles (odeurs d’asphalte, gros engins motorisés…). Ce projet vient d’être lancé en Angleterre pour réhabiliter d’anciennes voies ferrées sans la nécessité de les détruire. Il s’agit d’insérer des panneaux de pneus de part et d’autre des rails, permettant à terme la circulation des voitures aussi bien que des trams à une vitesse de pointe de 80km/h. 1600 km de route ont déjà été ainsi recouverts, dont chaque kilomètre nécessite environ 200.000 pneus. Les panneaux sont faits à froid, générant peu d’émissions. Un procédé qui a aussi son avantage économique, d’autant qu’un panneau abîmé peut être remplacé en 15 mn !


Evidemment, le concept est contestable sur plusieurs points :

  • N'est-ce pas une incitation à augmenter les kilomètres de voies routières?
  • Doit-on destiner ces voies à la circulation routière plutôt qu’en faire des coulées vertes ?
  • Quels sont les risques environnementaux liés à l’infiltration des eaux pluviales dans le sol pour un tel revêtement ?
  • N’y a-t-il pas un risque de surconsommation d’essence liée aux frottements sans doute accrus ?

Cependant, le concept offre un fort potentiel à mon sens si on le rend applicable notamment :

  • A certaines petites rues résidentielles (bruit très fortement diminué), notamment celles dont le revêtement est abîmé (engendrant des nuisances sonores additionnelles) et qui pourraient très vite être recouvertes par ces panneaux.
  • Le recours à ces panneaux pourraient être d'usage pour tous les cassis et autres dos d'âne, afin d'éviter le "touk touk" caractéristique (c'est vous qui voyez pour le son) du bruit des pneus sur la route.

Pour rappel, les pneus usagés ne doivent plus être mis en décharge (encore moins être enterrés) mais doivent être retraités depuis début 2004. Rien que cette année là, 212.600 tonnes de pneus ont été collectés et traités (ou, si vous préférez, quelques 34 millions de pneus de voitures – vous avez bien lu) – ce qui permet également de récupérer environ 37 000 t de fer issu des armatures (150 à 200 kg de fer par tonne de pneu).

Jusqu’à présent, les pneus, une fois recyclés se retrouvent principalement utilisés pour: 

  • La construction de routes (remblai, sous-couches drainantes, enrobés de route pour limiter le bruit) ; 
  • Des objets (roue de brouette, conteneur à déchets…) ; 
  • Des revêtements de sol (salles de sports, aires de jeux…) ; 
  • Des accessoires automobiles (accoudoirs, rangements...) ;
  • Des équipements routiers : barrières antibruit, signalisations ; 
  • Des matériaux pour toitures ; 
  • Des équipements de camping (doublures, tapis de protection…).


Sources:
- "Rubber highway to beat congestion", article de la BBC publié le 31 May 2006 
- Site de la Holdfast Rubber Highway (HRH)
- "Quand les pneus quittent la route", article du Ministère de l’Ecologie et du Développement Durable paru le 26 septembre 2005

mercredi, 21 juin 2006

Un petit bout de carton de 3500 t pour emballer une pâte à tarte!

Si ce blog insiste autant sur le rôle de chaque individu pour préserver son environnement et surtout, l'importance de chacun des gestes (et des choix) que nous sommes amenés à faire dans notre quotidien, c'est parce qu'aussi insignifiants qu'ils paraissent, tous petits changements peuvent conduire à de GROS impacts.

Quand vous coupez l'eau du robinet pendant 5 minutes chaque jour, vous économisez au bas mot 12.775 litres d'eau par an (voire beaucoup plus selon les robinets)... soit tout de même près de 13 m3. Je rappelle que nous sommes 62.702.000 français (selon l'INSEE). Je vous épargne le calcul, cela donne 0,815 milliard de m3 d'eau économisés par an...

Pas encore convaincu? Pierre Frisch, le Directeur environnement du groupe Auchan a récemment rapporté que des travaux menés sur les produits de leurs marques ont ainsi permis d'économiser 3.500 tonnes d’emballages, en enlevant une simple cartonnette dans l’emballage d’une pâte à tarte !

Pourtant, je rappelle que 627 millions de tonnes de déchets ont été produits en 2002 en France :

  • 375 millions de tonnes provenant de l'agriculture et de la sylviculture (exploitation forestière)
  • 106 millions de tonnes produites par les entreprises 
  • 100 millions de tonnes provenant des mines, carrières et BTP
  • 31,4 millions de tonnes des ménages (dont 21.9 t d'ordures ménagères, le reste étant les encombrants et les déchets verts)
  • 14 millions de tonnes provenant des collectivités
  • 0,2 millions de tonnes des activités de soins 

Chaque Français a ainsi produit 360 kg de déchets d'ordures ménagères, une production annuelle qui a doublé en 40 ans. Mais attention!!! Ce chiffre cache une réalité: quand des entreprises produisent des déchets, c'est pour manufacturer des produits que nous utilisons, quand un agriculteur produit des déchets, c'est pour nous nourrir, quand un carrier produit des déchets, c'est pour construire nos bâtiments et nos routes... Il n'y a finalement qu'un infime quantité de déchets produits qui n'aient pas comme finalité les consommateurs que nous sommes. Il est donc bien naïf de s'imaginer que nous ne représentons que 360 kg.

Ma barquette que je vais jeter a forcément nécessité quelques grammes de déchets... Idem pour mon paquet de céréales ou de lessive... Au final, la totalité des déchets en France représente 9.500 tonnes de déchets par tête...

Il est donc fondamental de réduire ses déchets à la source... en les évitant!


Plus d'infos:

- "Les déchets en France - chiffres clés", ADEME (Sept. 2005). En cliquant sur ce lien de l'Ademe, une boîte de dialogue s'ouvrira directement vous proposant d'ouvrir ou d'enregistrer ce document en .pdf
- N'oubliez pas la rubrique "déchets" de ce blog!