mardi, 08 juillet 2008
Vélo high tech – accessoires et tendances
Tandis que les petits faucons ont pris leur envol (voir la webcam), ce blog est de retour avec quelques nouveautés pour vélo dénichés ça et là sur le net. Pratiques, fun ou simplement futuristes, certaines trouvailles méritent vraiment le détour… …
A commencer par Pedalite, une société anglaise qui a conçu des pédales lumineuses fonctionnant sur le principe de la dynamo – ingénieux et écolo quand on sait qu’un cycliste est particulièrement vulnérable la nuit. Le principe ? En tournant sur son axe, la pédale génère du courant alimentant des leds clignotantes grâce à une petite génératrice intégrée. Celles-ci fonctionnent encore une dizaine de minutes à l’arrêt. Oredon [MàJ 18/4/2011 le site n'existe plus] distribue le kit en France, vendu au prix de 49 euros (hors livraison). Inconvénients : les risques de vol et un poids de 570g pour les deux pédales.
D’autres systèmes d’éclairage sont également à signaler : outre les classiques dynamos qui se fixent sur les roues, provoquant parfois la sensation d’être un peu freiné, vous pouvez opter pour :
- Une lampe à leds sans pile (effet dynamo grâce à une manivelle à tourner avant de rouler) qu’on peut trouver par exemple chez Econologie pour 8,50 euros.
- Une lampe solaire comme l’Owleye (= "Œil d’hibou") qui offre 16h d’autonomie pour 2 à 6h de charge suivant l’ensoleillement. On la trouve sur Websolaire à 35 euros.
Il existe des casques intégrant directement des leds (batteries rechargeables), comme le "Fuji ILS Police Bike Helmet" vendu sur le site américain Abikestore. Ces casques sont développés par la société IHT Technology, qui fournit notamment les policiers à vélo de Los Angeles – d’où le nom du casque… Je n’ai pas trouvé d’équivalent en France.
Et si tout ceci ne vous convainc pas, roulez en vélo phosphorescent ! Puma a en effet développé en partenariat avec Biomega un vélo pliant, le Puma Glow Rider, utilisant un alliage argent anodisé qui brille dans la nuit. Il est commercialisé a priori depuis avril 2008 dans les Puma store.
Enfin, deux prototypes coup de cœur…
- Le sandwich bike, vélo avec armature en bois au style très épuré créé par deux designers néerlandais, Pieter Janssen et Bleijh.
- The sound of music, par Yanko design, constitué de deux flûtes actionnées par le vent et dont vous pouvez jouer comme un ocarina.
Voilà de quoi améliorer votre vélo pour les vacances... Remarquez, avec le temps qu'il fait, ce n'est pas de lumières dont nos vélos ont besoin... mais de parapluies! Ca tombe bien, les anglais ont sorti le "Nubrella"... je vous laisse avec leur video de présentation...
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lundi, 16 juin 2008
Testez votre impact sur les forêts!
Savez-vous que pas moins de 180 kg de papier par habitant et par an sont consommés en France, nécessitant plus de 9 millions de tonnes de bois pour sa production (source : Ademe)? Un employé de bureau jette environ 80 kg de papier par an (source : Ademe) et plus de 400 millions d’euros/an sont dépensés en impressions inutiles dans les entreprises françaises (enquête Ipsos/Lexmark). Diminuer notre consommation de papier participe donc largement au respect de l'environnement. Mais le papier n'est pas le seul à impacter sur les forêts. Les emballages, nos meubles, l'huile de palme (qu'on retrouve dans nombre de produits alimentaires) et bientôt, les agrocarburants sont autant de facteurs additionnels.
Pour vous aider à y voir clair, le WWF-France vient de lancer un site permettant aux consommateurs de mesurer l’impact de leurs achats quotidiens sur la forêt: www.protegelaforet.com
La pression exercée sur les forêts incite à la déforestation de ces dernières: plantations plus rentables, création de routes pour accéder aux bois rares, récoltes illégales... Cette déforestation génère 20% des gaz à effet de serre dans le monde, soit autant que les émissions produites par les transports, entraînant de surcroît la disparition de milliers d'espèces animales et végétales.
Grâce au site du WWF, vous pourrez sélectionner des produits (papier hygiénique, meubles, parquets, biscuits, bijoux...) et consulter leur empreinte écologique avec de nombreuses recommandations pour les limiter.
Et oui, le PQ n'est pas très glamour, mais vous apprendrez que chaque européen en consomme en moyenne 13 kg par an, soit le quart de la production mondiale... Cette consommation augmente de 4% tous les ans alors que 90% des fibres utilisées dans le papier hygiénique proviennent du marché mondial. En clair, une bonne partie du PQ de vos WC provient sans doute de forêts mal gérées ou exploitées illégalement... Pour ceux qui l'ignore, vous pouvez trouver du papier toilette recyclé qui remplit tout aussi bien sa tâche!
Pour les anglophones parmi vous, il existe également une initiative pour la réduction de la consommation de papier, SHRINKPAPER (=réduisez le papier), lancée par la fondation néerlandaise Forest Peoples Programme qui défend le droit des peuples forestiers. Il s'agit de s'engager (=pledge) à accomplir certains gestes (accès direct aux engagements). Le site plaide pour la mise en oeuvre d'un réseau européen - espérons qu'il sera bientôt traduit dans d'autres langues!
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dimanche, 18 mai 2008
STORY of STUFF: le film de notre consommation
Je viens de découvrir STORY of STUFF ("L'histoire des choses"), un petit film documentaire de 20 mn sur l'histoire de notre consommation et notre rôle en tant que consommateur. Il est réalisé par l'américaine Annie Leonard, coordinatrice du "Funders Workgroup for Sustainable Production and Consumption" (Groupe de travail fondateur pour une production et une consommation durable).
Cette experte internationale sur les questions de santé, d'environnement et de développement durable a sillonné pendant 20 ans les industries et les décharges dans le monde, analysant le cheminement des ordures des pays du Nord vers ceux du Sud. Elle a travaillé auprès de nombreuses ONG dont Greenpeace International et Greenpeace India, nous livre ici un documentaire d'une extrême clarté. Graphiquement simple (Annie est à l'écran sur fond d'animation) mais très agréable, Story of Stuff est à mon sens un des films pédagogiques sur les enjeux de la consommation le mieux fait. Elle rappelle quel est notre rôle, nos moyens d'agir, l'impact de nos actions et l'urgence de changer nos habitudes.
Seul hic, le film n'est actuellement disponible qu'en anglais et le niveau requis de compréhension est assez élevé. Mais pour ceux maîtrisant suffisamment l'anglais, ce documentaire est une perle à ne pas rater!
Pour accéder au film, cliquez sur la bannière ci-dessous ou directement sur www.storyofstuff.com
Je signale que le film est également légalement téléchargeable sur le site (54 Mb).
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mardi, 29 avril 2008
Sprig toys: des jouets animés qui se passent de piles
Ces véhicules aux drôles de bouilles qui semblent tout droit sortis d'un dessin-animé sont des Sprig Toys. Leur particularité? Ils racontent des histoires (accompagnées d'effets sonores pour le modèle vert) et les lumières (LED) sur le casque des petits personnages s'allument... le tout, sans batterie ni pile.
A l'heure où la tendance est au matériel de plus en économe énergétiquement (électroménager, véhicules...), l'électronique est devenu omniprésente dans les jouets, nécessitant toujours plus de batteries en tout genre. Pourtant, il est une source d'énergie renouvelable très performante et sous utilisée: celle générée par les jouets eux-mêmes, en interagissant avec l'enfant, selon un principe similaire aux manivelles permettant de recharger des lampes torche (effet dynamo).
L'idée est venue de Chris Clemmer, designer américain, à l'origine de la société Sprig Toys créée en 2007 et dirigée par Craig Storey. Fabriqués en sprigwood, matériau biocomposite thermoplastique à base de fibres de bois recyclées, ces jouets se rechargent simplement lorsqu'ils roulent. Il existe 3 modèles (Discover rig, Rally racer et Baja scout), symbolisant chacun une aventure différente relatée par le véhicule lui-même (5 aventures disponibles au total).
Ces jouets seront disponibles à partir d'automne 2008 aux Etats-Unis et en Europe.
Accéder au site officiel: www.sprigtoys.com
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mardi, 15 avril 2008
400 magazines online, adieu le papier!
Dimanche, j'étais dans un eurostar - l'occasion d'observer un groupe qui déballaient une douzaine de magazines. La pile de pubs, prospectus et autres plastiques inutiles (joints aux magazines et dont les médias anglais sont friants) qu'ils ont du jeter équivalaient probablement à la pile de magazines en eux-mêmes. Devant tant de gâchis, j'ai donc été réjouie de découvrir la nouvelle offre de Relay. Bien que d'habitude critique vis-à-vis des Relay-Hachette monopolisant la vente de journaux dans le métro (au détriment des petits commerçants), je salue l'arrivée de la vente de magazines en version électronique.
Mais ils vont plus loin en proposant un abonnement illimité à 400 magazines pour à peine moins de 18 euros/mois... dont 1 euro est reversé au WWF. Appelé "éco-forfait" illimité, c'est une nouvelle ère qui s'annonce, profitant du numérique et de la désertion des lecteurs tout en permettant une formidable économie de papier et d'énergie pour la distribution. Pour découvrir les titres proposés, cliquez ici.
Bien sûr, il vous est possible de sauvegarder les numéros (avec certaines protections j'imagine pour éviter les partages illégaux de fichiers) et d'imprimer. Sauf qu'au final, vous n'imprimerez que ce qui vous intéresse.
S'il ne faut pas oublier que surfer sur internet consomme beaucoup d'énergie (voir l'article du blog "Passons au greenhosting"), il n'en demeure pas moins que l'usage de sources non renouvelables est sans doute moindre que celles consommées pour imprimer des tonnes de magazines qu'il faut ensuite disséminer par camions entiers - sans compter les surplus à récupérer qui sont ensuite jetés.
Au fond, le point noir réside surtout dans le fait que socialement, le groupe Relay est en passe de rogner encore un peu plus sur le marché des petits commerces qui risquent plus que jamais de couler. Des lecteurs épisodiques comme je suis vont-ils réellement continuer à fréquenter les marchands de journaux du coin dès lors que je pourrai potasser des centaines de magazines sans coût additionnel si j'ai déjà un abonnement?
En ce qui me concerne, la réponse est oui, car j'aime trop farfouiner dans la caverne d'Ali Baba chez mon "petit marchand" dans ma rue qui laisse ses clients lire (car il sait très bien qu'on se fait toujours "avoir" en repartant avec un magazine... avis aux marchands râleurs qui ne supportent pas qu'on lise ne serait-ce que le sommaire...)! Mais j'avoue que je risque de moins me laisser tenter. En même temps, cela m'a toujours chiffonnée d'acheter un magazine pour avoir le dossier spécial de 20 pages sur les 100 qu'il totalise. Reste que de nombreux journaux que j'apprécie ne sont pas compris dans l'offre... pour l'instant. Mon petit marchand continuera donc à me voir régulièrement!
Et vous? Qu'en pensez vous?
Accéder au site de Relay:
http://relay.presse-wl.com/Publications/Zoom/ALaUne.aspx
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lundi, 24 mars 2008
Passons au "green hosting"!
Green hosting? Mais qu'est-ce donc? Ce terme dont la traduction littérale revient à "Serveur Vert" ou "Serveur écolo" désigne les hébergeurs informatiques qui s'engagent en faveur de l'environnement en réduisant notamment les consommations d'énergie pour l'alimentation de leurs serveurs et leurs centres de calcul (data centers).
En effet, l'omniprésence du numérique dans nos vies nécessite de recourir à des serveurs toujours plus puissants (hébergement de sites, stockage de données, téléphonie IP, fonctionnement de jeux multijoueurs...) qui nécessitent bien évidemment d'être alimentés en électricité. Or justement, la consommation électrique des serveurs a doublé entre 2000 et 2005. Ces milliards de kWh représentent une facture de quelques 5 milliards d'euros dans le monde.
Beaucoup de serveurs n'optimisent pas leurs consommations d'énergie, misant sur un coût d'achat faible pour les produits bas de gamme tandis que leurs consommations pourraient être réduites de 20 à 40 % en ajoutant une alimentation électrique de meilleure qualité pour quelques dizaines d'euros! Heureusement, l'électricité coûtant de plus en plus chère, adopter du matériel plus performant devient de plus en plus attractif.
Des hébergeurs commencent à en prendre conscience. En France, le pionnier du genre est Ikoula, hébergeur engagé dans une politique environnementale ambitieuse:
- Les composants serveurs à faible consommation électrique sont privilégiés, sans surcoût pour les clients.
- Recyclage des déchets informatiques des serveurs avec prise en compte du retraitement des équipements électriques et électronique dans leurs procédures.
- Achat d'énergie propre à EDF avec, à la clef, 20% de l'énergie consommée issue de sources propres et renouvelables.
- Les serveurs ont été rénovés et intégreront un échange thermique naturel (free-cooling) pour diminuer les besoins en climatisation et donc, la consommation électrique, ains qu'un générateur à pile à hydrogène pour limiter l'émission de polluants
- Enfin, Ikoula prévoit le lancement de solutions d'hébergement innovantes réduisant de 60% les émissions de CO2
Il ne vous reste plus qu'à guetter le petit logo "eco site web" figurant en haut de l'article: il indique un serveur hébergé par Ikoula, comme le site PC Astuces (doté de 7 serveurs). Signalons au passage que ce dernier a conservé un langage de programmation en htm consommant moins de ressources informatiques et électriques que les langages asp ou php (permettant des pages dynamiques qui sont de plus en plus la norme actuelle, notamment avec l'avènement du web 2.0).
Dans un autre genre, Greenest Host, data center américain, a misé sur l'énergie solaire provenant directement de ses bâtiments. Les 200 m² sont entourés par 2 rampes photovoltaïques composées de 120 panneaux. Des batteries stockent le courant produit en journée pour alimente r les serveurs la nuit. Ce système s'accompagne d'une architecture bioclimatique (excellent isolation, ventilation passive intégrée, puits de lumière...). L'investissement a représenté 100 000 $ pour une facture électrique mensuelle nulle (au lieu de 3000 $). Je vous épargnerai le calcul: l'investissement sera rentabilisé en à peine 3 ans... Et Greenest Host prévoit déjà de passer à une toiture végétalisée pour diminuer encore de 50 % les besoins en climatisation.
Il en existe d'autres. Je citerai notamment Aiso (Affordable Internet Services Online) qui héberge les serveurs de plusieurs ONG de défense de l'environnement ou Green ISP, qui mise sur les énergies renouvelables et dont les salariés viennent au bureau en transport en commun. La société va également ouvrir au Portugal le 1er datacenter européen fonctionnant totalement aux énergies renouvelables (comme Greenest Host).
Signalons enfin que HP a récemment développé un logiciel "Thermal Zone Mapping" modélisant les flux thermiques dans les centres de calcul pour adapter la climatisation en conséquence en optimisant le positionnement des systèmes d'air conditionné.
Si votre société ou vous-même êtes à la recherche d'une hébergeur, pourquoi ne pas opter pour ces sociétés? Sachant que personnellement, je vais bientôt avoir besoin d'un hébergeur... mon choix est fait.
Sources:
- "La consommation électrique des datacenters a doublé depuis 2000", Indexel (19 fév. 2007)
- "Comment faire des économies sur la climatisation de sa salle serveur", 01net (30 juil. 2007)
- "L'hébergement web passe au courant vert", Novethic (7 janv. 2008)
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jeudi, 31 janvier 2008
Quand Sony se lâche... [MàJ le 1/02/08]
Mais qu'est ce donc? Rendez-vous demain après-midi pour avoir la réponse...
[MàJ le 1/02/08]
La prochaine fois, il faudra que je pense à mal nommer la photo... y'a eu triche!!! :-)
Il s'agissait en effet d'un appareil photo numérique fonctionnant grâce à l'énergie humaine, un prototype signé Sony et répondant au doux nom de ODO Twirl N' Take.
Adieu batterie, pile et chargeur, il suffit de faire tourner la roulette pour recharger l'appareil (principe de la dynamo). Celle-ci est recouverte d'une gomme pour accrocher une surface et la faire rouler aisément, 15 tours permettant une prise de vue. L'appareil n'a pas d'écran (trop énergivore), la visée s'effectuant à travers la roue. Quant au capteur et au bouton de déclenchement, ils sont placés sur le manche de l'appareil.
Si Sony ne fournit aucune donnée sur les capacités de l'appareil et la résolution du capteur, il n'en demeure pas moins que ce prototype est prometteur. En effet, cette simplicité apparente cache bien des avantages: plus de consommation d'énergie durant toute la durée d'usage de l'appareil (hormis lors de son branchement sur un ordinateur pour visionner les photos) et finis les risques de tomber en rade de batterie en plein milieu de vos vacances loin de toute prise électrique. On peut même imaginer un concept d'appareil photo junior où les enfants pourront s'en donner à coeur joie tant qu'ils feront tourner la roue (ce qui ne devrait pas trop poser de problème). Et cela évitera bien des "Mamaaaaan, ça marche plus... [Maman] Va voir papa... [Papa] C'est ta maman qui a rangé le chargeur... OUIiiiiin".
Des manivelles pour engendrer de l'énergie, c'est une blague?
Non. Qu'il s'agisse d'une manivelle, d'un bouton à tourner ou d'une tirette évitant le recours aux batteries, c'est une solution particulièrement écologique de plus en plus employée: chargeur de téléphone portable, lampe de poche, radio... J'ai moi-même une grosse lampe à LEDs qui se recharge grâce à une manivelle, elle offre de loin le meilleur éclairage qui soit, sans jamais à se soucier de la faiblesse des piles. Que vous ayez une cave mal éclairée, une panne de courant dans la maison ou tout simplement un pneu crevé en pleine nuit, vous auriez tord de vous en priver et ces lampes sont très abordables (compter entre 20 et 30 euros), compte tenu de leur durée de vie.
Evidemment, ce système de dynamo ne produit pas des quantités énormes d'énergie, mais le progrès fait aussi en sorte de créer des technologies qui nécessitent moins d'énergie pour la même fonction (ex. lampe à basse consommation contre lampe à incandescence), rendant le principe de dynamo de plus en plus intéressant dans une quantité d'applications.
Au passage, pour la petite histoire, les montres fonctionnant grâce au mouvement et se passant de piles bouton (au mercure, donc très toxiques) existent depuis des décennies. Elles fonctionnent à merveille (mon père a d'ailleurs eu une casio pendant 20 ans - zéro pile!). Or, combien de gens aujourd'hui ont une montre à mouvement sans pile? Preuve que parfois, il s'agit juste de mauvaise volonté...
Sources:
- Site officiel japonais de Sony
- "L'appareil photo numérique écologique de Sony n'a pas de batterie", PC Astuces (14 décembre 2007)
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